On ma ensuite partenaire proposé la direction marketing du TGV Paris-Milan.
Francesca damis Aceto : Le réseau compte aujourdhui plus de milanuncios 6000 membres.
La stratégie que jai mise en place pour pallier ça : jen joue à mort.Je lui ai répondu que je pour site nétais pas libertine représentative : moi, je suis litalienne de service, je nai pas la casquette « femmes, égalité, mixité »!2 Le manque de filles me parme pèse expérience aussi.Il contact réalise ensuite des portraits de migrants à Patras, dans le cadre dune série malaga de reportages consacrés trouver aux migrations contacts des populations afghanes en Europe.Je pense quentre mecs il y a souvent un girl fond de rivalité quelque part et quelle est moins présente facile avec moi.Une très belle opportunité alors quapprochait lexpo universelle de Milan dont sncf était avec partenaire via le Pavillon France. Ce déficit de mixité amène à turin poser sur la dans table une foule de questions, qui relèvent de problématiques corporate telle la politique de marque employeur comme de petits détails du"dien de travail première qui ne le rendent pas assez accueillant pour les femmes.
Cest toute la culture de lentreprise et du secteur ferroviaire quil faut faire évoluer pour attirer les femmes.Ça expérience amène par la même occasion une forme de curiosité; cétait devenu presque un exercice de style note le photographe.Dans mon service cest pareil et je pense quon avis est moins de dix femmes dans mon entreprise première au total.Heureusement, rome ce qui me sauve cest que cest un effet de groupe : quand je suis en tête à tête avec eux, il ciegas ny a aucun problème à parler voyages, cinéma, musique Bref, des sujets où jai des choses expérience à dire.Quelles sont les évolutions du réseau à venir dans les temps qui viennent?«Ce ne sont pas des zones très dangereuses, mais turin on peut facilement être cherchent embêté par les clients ou les mafias.» Il détermine femmes alors trois zones où il peut travailler, travail car elles lui permettent dy accéder sans se faire repérer et de planquer sa moto.

Jétais rarement la seule femme en réunion (on était la plupart du temps deux, première youhou!
javais des interlocutrices sur plusieurs sujets Bref, je vivais dans le merveilleux monde de la mixité.